Bien sûr, tout le monde vous dira que l’arrivée d’un bébé, ce n’est « que du bonheur »… Je suis d’ailleurs tout à fait d’accord avec cela ! Mais une naissance bouleverse tout sur son passage, et apporte son lot de doutes et de questionnements. C’est l’une de mes lectrices qui m’a suggéré cet article, afin de partager avec vous les difficultés que j’ai pu rencontrer en tant que jeune maman !
Pas de mode d’emploi
C’est simple : aucun bébé ne se ressemble… tout comme chaque grossesse est vécue différemment. J’ai tenu à me « documenter » en lisant quelques livres sur la maternité, mais j’ai vite arrêté quand j’ai été stupéfaite de lire tant de lieux communs, de généralités inapplicables. Même si ces livres partent d’une très bonne intention, je n’ai jamais réussi à m’y retrouver ! Mon seul conseil : l’instinct. Vous et vous seul(e) savez ce qui est bon pour votre enfant. Et au moindre doute, demandez conseil à une maman autour de vous ! Elle sera probablement passée par les mêmes questionnements que vous.
Une grossesse sous haute surveillance puis le néant
J’ai eu une grossesse très délicate avec de nombreux rendez-vous médicaux tout au long de ces presque 9 mois. Mais j’ai véritablement vécu l’après-accouchement comme la traversée du désert ! Heureusement que ma super sage-femme est venue nous voir à domicile, et que j’ai eu un très bon suivi gynéco par la suite (à cause de ma césarienne), ce qui m’a permis de poser mes questions sans trop attendre. Côté suivi du bébé, le premier rendez-vous avec le pédiatre semble très expéditif (on a à peine le temps de poser ses questions!) ; il faudra ensuite attendre un mois pour poser ses autres questions… Un conseil : faites une petite liste pour ne pas oublier d’aborder tous les sujets lors du prochain rendez-vous !
L’inquiétude permanente
Je ne suis pas quelqu’un de particulièrement soucieux, mais chaque journée apporte son lot d’inquiétudes et de questionnements au sujet de ma fille. Beaucoup de personnes pensent que mon métier d’infirmière me permet de prendre du recul à ce sujet… C’est vrai et faux à la fois ! J’ai tendance à rationaliser la plupart des petits bobos du quotidien, néanmoins je ne peux pas m’empêcher de m’inquiéter à la moindre toux, pic de fièvre, etc. Un bébé ne parle pas, et n’a qu’un seul mode d’expression les premiers mois : les fameux pleurs ! Il est parfois stressant de ne pas savoir les interpréter, et d’en connaître la nature.
Une patience sans limites
Une sucette qui tombera du lit 4 fois dans la nuit, un jouet qui fera la même musique plusieurs heures d’affilée… Il n’y a pas à dire, avoir un enfant, c’est aussi mettre ses nerfs à rude épreuve ! J’ai toujours eu une grande patience (j’ai pour habitude dire que c’est l’une de mes rares qualités!) mais avoir un enfant aura indubitablement exacerbé ce trait de caractère.
La culpabilité est au coin de la rue
« Ah, tu arrives à la laisser à tes parents un week-end entier? Moi, je n’y arrive pas »… Et voilà une petite pointe de culpabilité qui vient piquer votre cœur. Je fais partie de ces personnes qui pensent qu’il faut passer du temps seul, ou à deux, pour recharger les batteries et savoir mieux s’occuper de son bébé ensuite. Je dis souvent que « je m’occupe de moi pour mieux m’occuper d’elle ». Bien sûr que ma fille me manque dès que je suis éloignée d’elle… Mais j’ai appris à « cultiver » ces petites périodes de séparation pour que les retrouvailles n’en soient que meilleures. C’est l’un de nos secrets de couple pour nous retrouver en toute quiétude.
Mais avoir un enfant c’est aussi : apprendre à aimer comme jamais, trouver du bonheur dans tout et rien, s’extasier des progrès au quotidien… Alors lâchez du lest, profitez de chaque instant et dites-vous que chaque jeune parent est passé par là !
Quelles sont les difficultés que vous avez pu rencontrer en tant que jeune parent ? ♡
→ A lire aussi : Mon expérience sur la diversification alimentaire de bébé
Mathilde
3 janvier 2018Ahhh je me retouche bien dans ce texte ! Félicitation c’est tout à fait Ça!! Bisous
leslie
3 janvier 2018bonjour!je ne commente jamais mais la ca me parait utile..maman d’un petit babyboy de 5 mois,j’ai eté confronté a la neonat pdt 1 mois (il est né prema).retour a la maison et la l’angoisse..tant de choses que l’on ignore et tant de questions ..une peur panique..j’ai reussi a me detendre un mois plus tard..mais quel aventure..ce n’est pas que du bonheur..c’est aussi un tel changement..un apprentissage du metier de maman non sans mal..mais on les aime tellement!merci pour cet article!
Isa
3 janvier 2018Merci pour cet article. Ma fille a 2 mois est dort très peu la journée, un peu plus la nuit maintenant. Autour de moi mes copines ont des bébés plus faciles, qui dorment, sont moins agités et ne s’énervent pas pour tout…j’avoue me sentir seule face à cela !
Gwen59
3 janvier 2018Super article qui décrit bien le quotidien d’une jeune maman. Mon fils a eu 1 an en décembre et je me pose encore mille questions par jour sur ma façon de faire, est-ce qu’il mange bien?, est-ce qu’il dort trop ou pas assez?, est-ce qu’il ne fait pas trop froid/chaud pour sortir? Etc… j’étais déjà de nature inquiète et angoissé mais alors je le suis X 10 000 !! Mais bon, comme tu dis, l’instinct de maman nous
fait prendre les meilleures décisions mon fils me fait sans cesse des calins, il me sourit et commence à m’appeler, mon coeur de maman fond devant sa bouille d’amour, c’est qu’il est heureux, et moi aussi ❤
Amco24
3 janvier 2018Merci pour cet article Mariel où je me retrouve en tant que maman et qui est porté comme à ton habitude par une extrême positivité et une très grande bienveillance! Et ça fait beaucoup de bien ! Merci aussi de m’avoir permis de me rappeler des différents pleurs dont j’avais [volontairement peut être] oublié l’existence et le fameux pleur « mobylette » , oui j’avoue nous l’avions prénommé! …
Une belle journée à toi !
Pauline
3 janvier 2018Hello Mariel 😉
Je te rejoins tout à fait sur la traversée du désert post accouchement, rien n’est évoqué sur cette période pendant les cours de préparation à l’accouchement. Et on se retrouve bien trop souvent désemparée/voire carrément déprimée lors de la reprise du travail du papa, quand on se retrouve toute seule avec un tout petit bébé qu’on ne comprend pas encore. On en parlait justement le 31 avec une amie enceinte de son premier.
Les statistiques et les comparaisons diverses nous laissent aussi bien gamberger : les bébés font leurs nuits à 3 mois, se retournent à 4 mois, babillent à x mois … chaque bébé est différent et il faut leur laisser le temps dont ils ont besoin. Gros coup de gueule pour certains médecins/pédiatre qui font stresser les jeunes parents pour un rien. Mon premier ne se retournait pas dos/ventre à cinq mois « Ce n’est pas bien madame, il faut le stimuler plus ». Je suis rentrée en pleurs de chez moi, persuadée d’être une mauvaise mère. Un mois plus tard, il faisait ventre dos et dos ventre à la perfection (et marchait à treize mois, a donc bien rattrapé son « retard »). Ma deuxième ne s’est non plus pas retournée avant 6 mois, et cette fois-ci, aucun stress, je l’ai laissée prendre son temps.
Tu fais donc très bien de conseiller aux jeunes maman d’écouter leur instinct et leur bébé en premier. Merci pour ce joli article 🙂
Caroline
3 janvier 2018Voilà un article qui réchauffe mon coeur de jeune maman ^_^ C’est vrai qu’au début l’inquiétude est quotidienne, c’est vite épuisant!!! Donc un bèbé c’est énormément de bonheur mais il faut le dire, c’est aussi de la fatigue, et du stress au début!
C’est génial que tu arrives à partir sans ta fille tout un week end! Et tu n’as pas à culpabiliser! Si tu y arrives c’est aussi parce que tu sais que les personnes à qui tu la confies sauront très bien s’occupées d’elle! Et ça c’est génial! Moi c’est la seule raison pour laquelle je n’arrive à la confier que quelques heures, on n’a pas les mêmes façon de voir les choses en ce qui concerne les bébés avec nos familles, du coup je ne leur fais pas assez confiance 🙁
Merci pour cet article!
Cerise
3 janvier 2018Oh mais que ça fait du bien de lire un article si vrai et complètement déculpabilisant !! Je crois que le plus difficile quand on devient parent ce sont les commentaires des gens autour de soi. Moi en tous cas c’est ce qui me touche le plus. J’ai un bébé de quatre mois et comme tu le dis ce n’est que du bonheur, mais c’est aussi des doutes et pas mal d’angoisses… mon fils est ce que l’on appelle un BABI ( bébé aux besoins intenses) ce n’est facile tous les jours mais petit à petit on apprend à connaître son bébé et ses besoins. En tout cas merci pour cet article sans mensonges ou idées toutes faites sur la parentalite ça change de ce que l’on trouve habituellement sur les blogs.
sengaelletse
3 janvier 2018Très bon billet (même si je ne suis pas concernée) qui souligne très justement tout ce que l’on ne dit pas toujours sur les changements induits par l’arrivée d’un enfant.
Bonne journée Mariel !
Anna
3 janvier 2018Merci pour cet article tout en transparence Mariel ! Moi qui début une grossesse, j’aurais souhaité savoir quel livre tu me conseillerais de lire concernant la maternité ?
Mariel
4 janvier 2018Je n’en ai aimé aucun, je n’en ai donc pas à te conseiller 🙁
Juliette
30 décembre 2019J’ai beaucoup aimé Les vrais besoins de votre bébé de Bernadette Lavollay, si ça peut aider. C’est surtout sur les bébés mais je l’ai lu en début de grossesse pour te mettre dans le mood c’est super.
Charlotte India
3 janvier 2018Un très bel article dans lequel je me retrouve bien aussi…
Karen
3 janvier 2018Un article très intéressant Mariel ! Je me retrouve beaucoup ce portrait.
Pour ma part j’ai aussi beaucoup culpabilisé lorsque je n’ai pas pu continuer à faire les petits pots maison à ma fille lors de ma reprise du boulot. C’est un sentiment qui passe avec le temps mais pas facile à accepter au début !
Batice71
3 janvier 2018En tant que maman de 2 enfants, je crois que tu as bien cerné le problème de la culpabilisation. Tu donnes le biberon alors que la mode est à l’allaitement, tu laisses tes enfants aux vacances chez les grands-parents qui habitent loin , histoire de souffler un peu et se retrouver entre mari et femme… Bref, il y aura toujours quelqu’un pour te faire culpabiliser. Suis ton instinct : c’est notre enfant qui nous fait devenir mère et non les autres ! Bonne continuation et profitez bien de votre puce car ça pousse tellement vite (et ça , je le confirme 😉 )
Laurine
3 janvier 2018Super article qui me parle bien puisque j’attends mon premier bébé prévu pour dans 1 mois. A l’heure actuelle je suis plutôt sereine pour l’après-accouchement, je me fais confiance. Mes seules craintes vont vers la gestion de la fatigue et peut être aussi le chamboulement dans le couple…
Lilou
3 janvier 2018Tellement vrai ton article.
J’ai vécu 5 ans de PMA, une grossesse catastrophique dès 5sa. De très nombreuses échos, séjours à l’hôpital pour de nombreux saignements.Puis accouchement prématuré, 5 semaines de neonat ultra médicalisé.
Retour à la maison sans sage femme, pas eu le temps de faire les préparations à l’accouchement. C’était l’horreur. Peur d’un retour à l’hôpital pour ma fille qui mangeait très très peu. Ne pas savoir à qui demander de l’aide.
Ma fille ne respectait en rien ce qui était marqué dans les bouquins. De très gros retards d’après ce que je lisais. Elle à commencé a ramper à 13 mois !
J’ai relâché totalement prise après ses un an. Enfin plutôt à 18mois quand elle a marché. Elle en a 20 maintenant. Je peux enfin dire que c’est vraiment que du bonheur !
La culpabilité s’est envolée.
Le meilleur conseil de ton article : l’instinct.
Il sera toujours là. Il faut se faire confiance et écouter son enfant
Emilie
3 janvier 2018Je suis comme toi à laisser facilement mes bébés aux papys mamies pour mieux se retrouver ou même des fois pas par choix mais car je n’ai pas d’autre solution. Et je me prends dans les denrs comment tu fais je ne pourrais pas où alors déjà… Mais ils sont petits… Grrrrrrr qd tu n’as pas le choix… En mai je dois les laisser pdt les 2 semaines de vacances scolaires 2 semaines c’est long mais c’est ainsi. Pas de famille à côté donc forcément ba ils partent un long moment. Certaines mamans abusent. Des fois j’ai l’impression d’être une mère indigne
elisa
3 janvier 2018Bonjour Mariel et bonne année!
et comme les autres mamans (ou pas) ci-dessus, merci de partager ce qui est très peu dans l’ensemble alors qu’il est vécu par de nombreuses femmes : non être maman ça n’est PAS « que du bonheur »
de mon côté (la crapouille a maintenant 2 ans), au début, le plus dur a été l’absence de réponse à mes questions avec une réponse qui me laissait sans voix « c’est vous qui savez le mieux madame, c’est vous la maman » : de mon côté, la notice n’a pas été livrée avec le bébé et si je pose des questions, c’est vraisemblablement car je n’ai pas la réponse! depuis (ou à cause de ces moments), elle a appris à parler et les choses sont beaucoup plus simples (enfin, on se comprend : je sais ce qu’elle veut/ce qu’elle a, mais ne suis pas pour autant capable de tout réaliser) et de mon côté j’ai fait une découverte importante (il n’est jamais trop tard!) : le manque de sommeil est une vraie torture physique et psychologique et il est effectivement très important de savoir se reposer et se ménager des moments pour revenir plein d’envie aux bras de son enfant
encore merci Mariel pour ce sujet et beaucoup de joie en famille
Cindy
3 janvier 2018Nous sommes des mamans qui déchirent ! ! Et comme dit très justement Mariel » s’occuper de soi pour mieux s’occuper de l’autre « , soyez bien dans votre tête, votre corps ayer confiance en vous, et n’hésité pas à demander de l’aide quand il le faut! Merci Mariel pour cet article
Sylvie;-)
3 janvier 2018Comme j aurais aimé lire cet article quand je suis devenue maman il y a 25 ans !il est parfait
ALEXANDRA
3 janvier 2018Complètement d’accord avec toi ! Super article, merci, il fait du bien
Cindy
3 janvier 2018Bonsoir Mariel,
Je suis votre chaîne YouTube et votre blog depuis longtemps avec grand plaisir. J’ai un petit garçon de 15 mois.
Le dimanche matin c’est mon grand plaisir de la semaine de regarder votre nouvelle vidéo. Je les trouve toujours géniales car j’adore votre qualité d’expression, votre sincérité etc.
J’avoue que je vous trouve parfaite sur absolument tous les plans et encore plus depuis que vous êtes devenue maman. Cet article déculpabilisant fait du bien car je sais que la perfection n’existe pas. Mon commentaire va peut être paraître étrange mais il est plein de bienveillance.
Maman Sur Le Fil
4 janvier 2018Je crois que toutes les difficultés que tu cites, nous y passons toutes à un moment ou à un autre… Le plus important comme tu le dis si bien, c’est de ne jamais oublier que chaque enfant est différent et que notre instinct est notre meilleur allié ! Ah oui, et à bas certains principes aussi !
Virginie
leti
4 janvier 2018il y a tellement de vrai dans ton récit…
Lapetite_Fee
4 janvier 2018Mariel,
Je me retrouve tellement dans ton article. Cette fameuse traversée du désert, ce fameux 1er rdv avec le pédiatre à la sortie de la maternité… et puis tous les désaccords entre les avis / fais ceci / fais cela / rhooo t’as pas peur qu’elle se fasse mal … Aïe Aïe y’a pas de diplôme pour être Maman. Seuls notre instinct, notre amour nous guident. Et heureusement dans l’entourage il y a toujours « des bonnes Âmes discrètes » qui nous aident, nous soutiennent.
Ma fille a 9 ans maintenant. J’ai fait de mon mieux lorsqu’elle était bébé. J’ai surtout appris à me faire confiance. Et tout s’est bien passé !!! Mon mari m’a bien aidée même si il faut être honnête il m’a fait confiance pour prendre de nombreuses décisions. Et puis il m’a apporté le réconfort nécessaire lorsque j’étais trop inquiète.
Aujourd’hui ma fille et moi restons très proche. La reprise du travail après les congés provoque toujours un gros pincement au cœur. J’ai toujours hâte de la retrouver lors de ces jours de reprise.
Il faut juste se dire que la Maman parfaite n’existe pas et des bébés, des enfants heureux on en dénombre +++++++++++++
De grosses bises
Melodie G
5 janvier 2018Un article écrit en toute simplicité et avec sincérité (comme dans tous tes sujets d’ailleurs!). Cet article me touche particulièrement, Maman d’un petit garçon de 6 mois, les questions et remises en question sont devenus récurrentes! Je pense qu’il est bon de douter, d’avoir par de ne pas bien faire pour donner le meilleur. Arrivee prématurément, passer un mois à l’hôpital…les doutes et questions sont venus bien plus tard (peut-être plus tard qu’un accouchement ordinaire où l’on rentre à la maison 4 jours après seulement!). A l’inverse de toi je n’est jamais été très patiente et je l’ai bien remarqué une fois à la maison! ^^ j’apprends à le devenir…
Je suis également pour se laisser du temps pour soi, pour nous même si c’est un manque énorme quand il n’est pas là!
Nos bébés bouleversent nos vies pour un très grand bonheur (mais pas « que » ^^!)
Belle journée Mariel!
Julie
5 janvier 2018Bonjour Mariel,
Merci et bravo pour cet article, qui en fera déculpabiliser plus d’une…
Je dois dire que j’ai été surprise en découvrant cet article car tu véhicules bien souvent une image de « perfection », on n’imagine pas un seul instant en voyant ton blog et tes réseaux sociaux que tu rencontres/as rencontré des difficultés (c’est là toute la magie des réseaux sociaux, on ne montre que le meilleur) et parfois, moi, derrière mon PC avec mes cernes, mon non-look du dimanche, mes ennuis du quotidien, je me dis « merde, mais comment elle fait pour être sur tous les fronts, gérer sa vie de famille, son blog, son métier prenant, etc. le tout en ayant l’air hyper heureuse et décontractée, sans le moindre cheveu gras ?! » (bon je caricature un peu là, mais j’espère que tu vois l’idée :D). Bref, cet article fait du bien et me donne envie de te suivre encore plus régulièrement. Bise ! Julie
Juju
13 janvier 2018Cc, je te suis depuis presque 1 an sur ton blog, j’ai une petite fille de 15 mois. J’ai connu ton blog grâce au site de candide. Ton blog est très bien fait, tu as l’art et la manière de l’alimenter toujours de manière très intéressante. Je voulais juste te partager un petit tuyau, ma fille a commencé à faire ses premiers pas dans des chaussons bébé à cuir souple de la marque tichoups, ses chaussons sont accessibles sur le site tichoups. Mon assistante maternelle, ainsi qu’une amie institutrice me l’ont conseillé. J’étais un peu perdu avec toutes ses marques et produits, et je suis vraiment satisfaite des chaussons tichoups, ma fille a peu commencer ses premiers pas de manière plus libre et à son rythme. Merci à toi pour ton blog,
Cordialement,
tchat
24 avril 2018Cet article me fait vraiment du bien au moral , je me sent déjà moins seule, merci