Difficile de trouver un titre adapté à cet article : plutôt que de dire « apprentissage de la propreté« , il vaudrait mieux dire « acquisition de la continence » ! Une étape importante pour l’enfant, qu’il démarrera sous la vigilance et avec l’aide de ses parents… mais dont lui seul aura choisi la chronologie. Dans cet article, l’idée n’est donc pas de vous donner des pistes pour aider votre enfant à devenir propre, mais plutôt une sorte de guide pour appréhender les premiers signes, afin d’aider au mieux votre enfant. Il ne s’agit ici que d’un partage d’expérience, et non pas d’une recette miracle pour aider votre enfant dans cet apprentissage !
Les pré-requis
Ils sont très importants et presque capitaux à prendre en compte pour accompagner au mieux votre enfant ! La propreté n’arrivera pas du jour au lendemain, et surtout pas quand vous seuls l’aurez décidé. Il est donc important de repérer ces quelques pré-requis chez votre enfant, qui doit donc être prêt :
- Physiologiquement : il faut que les sphincters soient physiologiquement prêts à fonctionner et à faire leur travail de rétention. Les spécialistes considèrent que toute tentative de mise sur le pot serait prématurée avant l’âge de 2 ans, et adaptée entre l’âge 2 ans et 2 ans et demi. Petite astuce : si vous voyez que certaines couches restent sèches entre 2 changes, il est possible que la rétention d’urine soit présente et que l’enfant soit donc prêt à devenir propre. Ces données ne sont bien sûr qu’approximatives et informatives… chaque enfant est différent !
- Physiquement : une petite astuce donnée par les professionnels de la petite enfance est d’observer votre enfant monter un escalier. Pose-t-il un pied sur chaque marche ? Alors il est probablement prêt (pour peu que tous les autres points abordés dans cet article soient validés). Il s’agit bien sûr d’un simple indicateur.
- Intellectuellement : l’enfant doit avoir compris l’action d’uriner, et doit pouvoir le formuler (il dit « pipi » ou « couche » lorsqu’il a fait ses besoins). Si cela ne semble pas acquis, c’est qu’il est probablement encore trop tôt. Vous pouvez aiguiser sa curiosité intellectuelle en verbalisant un maximum de choses lors du change : « tu as fait pipi », « la couche est mouillée », « tu as beaucoup bu donc tu as fais beaucoup pipi »…
- Émotionnellement : l’apprentissage de la propreté est une grande étape pour l’enfant, il faut donc qu’il démontre un intérêt pour le pot et qu’il ne soit pas omniprésent, ou que l’action d’aller au pot soit trop sollicitée. Si vous ressentez une anxiété, une appréhension… c’est qu’il est sûrement trop tôt. Pour vous donner une idée, ma fille cochait toutes les cases précédemment listées autour de l’âge de 2 ans, mais pas cette notion émotionnelle… Je lui avais probablement trop mis la pression alors que je la sentais prête (et j’avais tout faux!).
S’entourer des bonnes personnes
Personne d’autre que vous ne connaît mieux votre enfant. En revanche, certaines personnes possèdent une expérience beaucoup plus importante que vous dans le domaine de la petite enfance… Nous avons donc pris des conseils du côté de notre pédiatre (en laquelle nous avons une grande confiance) et auprès du personnel de la crèche où se rend Inès 3 fois par semaine. Ce sont ces personnes qui nous ont appris à décrypter les premiers signes, sur lesquels je vais revenir plus en détail par la suite ! Nous nous sommes donc laissés guider par ces personnes qui s’occupent d’Inès au quotidien (ou presque), en se basant sur leur expérience de la petite enfance. N’hésitez pas à les solliciter pour vous conseiller au mieux pendant cette période.
Le matériel
Le mieux est d’avoir plusieurs options à disposition pour proposer tout ce qu’il faut à l’enfant :
- Les culottes d’apprentissage* : j’ai entendu beaucoup de personnes suggérer de laisser l’enfant les fesses nues (sans culotte ni même pantalon) pour qu’il prenne conscience de son corps, de la sensation lors de la miction… Inès n’a pas du tout été réceptive à cela et était au contraire très humiliée dans cette situation. Nous avons donc opté pour un « entre deux » bien pensé : des culottes d’apprentissage en coton éponge, un peu plus épaisses qu’un sous-vêtement classique mais pas absorbant comme une couche. Ainsi, elle sentait ses fesses mouillées à la moindre fuite mais n’avait pas la même sensation « honteuse » qu’elle redoutait tant. Une fois les accidents devenus rares, nous sommes passés à des culottes en coton classiques (nous alternons entre un modèle Petit Bateau et un modèle Absorba).
- Le pot* : l’avantage est qu’il est à portée de main, transportable, et qu’il appartient à l’enfant et rien qu’à l’enfant. Les spécialistes recommandent de ne pas le « balader » dans toute la maison (et de faire ainsi comprendre qu’on fait ses besoins dans une pièce dédiée à cela). Il a toujours gardé sa place dans les toilettes, à proximité du WC. Inès a beaucoup accroché avec ce modèle en forme de baleine, qui a l’avantage d’être ludique, joli, et plutôt esthétique grâce au couvercle qui se place dessus.
- Le réducteur de toilettes* : la méthode la plus simple et la plus facile à transporter ! Nous avons acheté ce réducteur en forme de hibou pour pouvoir le placer / stocker facilement, et surtout pouvoir l’emmener en voyage.
Concernant le choix du pot ou du réducteur, certains enfants privilégieront l’une des 2 solutions et bouderont l’autre… Inès s’est très bien faite aux 2 options mais préfère utiliser le pot qui lui garantit une autonomie maximale (elle y va seule et sait le vider dans les toilettes). Je conseille d’investir dans l’un ou l’autre assez vite (avant 2 ans), non pas pour inciter l’enfant à aller dessus, mais plutôt pour que l’objet lui soit familier, et qu’il ait l’habitude de l’avoir vu depuis quelques semaines.
Les signaux d’alerte
Il vont s’empiler au fil des semaines, et peuvent donc vous mettre sur la piste qu’il est temps de proposer le pot/réducteur à votre enfant :
– De plus en plus de couches sèches entre 2 changes : c’est signe que les sphincters assurent leur fonction, et que la vessie se remplit et garde une bonne continence avant de se vider quelques instants après.
– Un besoin de s’isoler pour faire ses besoins : si votre enfant se cache, change de pièce, s’éloigne de vous… pour faire ses besoins, c’est que la propreté n’est pas loin !
– Une curiosité accrue : votre enfant vous regarde aller aux toilettes, vous pose des questions, questionne au sujet de son anatomie…
– Une demande de change fréquente : l’enfant demande à ce que la couche soit changée dès qu’elle est souillée, et ne supporte pas garder la couche dès son réveil ou après avoir fait ses besoins.
La valorisation
Elle est extrêmement importante à mettre en place, dès les premiers pipis sur le pot, et doit presque devenir un réflexe de la part des parents ! Inès est très guidée par les encouragements et la valorisation en général : elle est très réceptive lorsque nous lui disons que nous sommes fiers d’elle, de la voir grandir et évoluer. Nous avions donc mis en place un système de gommettes à coller sur une feuille, lorsqu’elle réussissait à faire pipi sur le pot. L’objectif ? Visualiser les tentatives (et les réussites associées), qu’elle comprenne son évolution et surtout qu’elle se sente valorisée. Je ne sais pas si je peux me permettre de conseiller cette astuce à tous les parents… car chaque enfant est différent, et je ne peux pas m’empêcher de penser que certains enfants y verront une forme de « concurrence » avec soi-même ? Je vous laisse donc juge de cette petite installation artisanale, qui a eu de très bons résultats chez nous ! Attention également aux encouragements qui, s’ils sont trop nombreux, peuvent donner à l’enfant une sensation d’échec lorsqu’un accident arrivera. Le choix des mots est donc très important (on peut par exemple dire à l’enfant qu’il fait pipi « comme les grands » au lieu de parler de réussite).
Les accidents
Il y en aura, et ils seront sûrement nombreux… Et il ne faut en aucun cas en faire un drame ou une affaire d’état ! L’idéal est de banaliser la situation, et d’expliquer que tout est réparable. Le but : éviter le sentiment d’humiliation, la honte associée à l’accident. Ne surtout pas humilier, gronder ou punir l’enfant, car cela entraînerait un blocage immédiat et probablement des difficultés par la suite. Et lors de vos premiers déplacements sans couche, partez avec 1 ou 2 tenues de rechange pour anticiper ces petits accidents ! N’oubliez pas non plus de protéger le siège auto, ou l’assise de la poussette.
Quelques lectures
- Les Bébimagiers – le pot* : une histoire simple, rapide et efficace, qui mêle photos et dessins. Inès a beaucoup aimé ce livre que je l’ai surprise à feuilleter seule assez régulièrement. Idéal pour les tout petits qui ont besoin de comprendre le principe du pot en quelques phrases !
- T’choupi va sur le pot* : le héros des enfants, un incontournable ! Là aussi, une histoire assez simple mais imagée et facile à adapter à des situations quotidiennes.
- Répète après moi – sur le pot* : un livre sonore idéal pour apprendre aux enfants le langage de la propreté. A mettre entre les mains des tout petits qui ont peut-être du mal à exprimer leurs sensations.
A (re)lire :
- Comment faire manger des légumes à un enfant ?
- 10 conseils pour favoriser le sommeil de bébé
- Partir au ski (Tignes Les Brévières) avec un enfant de 3 ans
- Mon expérience sur la diversification alimentaire de bébé
J’espère que cet article aura aidé ceux et celles dont les enfants arrivent vers cette étape cruciale ! N’hésitez pas à partager vos expériences, retours, conseils… dans les commentaires, afin d’en faire un lieu d’échange entre parents.
Sandra
20 mai 2020Coucou ! Je n’ai pas d’enfant mais j’adore te lire ! Je trouve que tu écris très bien et que tes mots sont toujours très justes .
Si j’en ai un jour je n’hésiterai pas à relire tes articles
Belle journée ☀️
Mariel
20 mai 2020Oh merci beaucoup Sandra ! Bises
Cindy
20 mai 2020Bonjour Mariel,
Tu ne parles pas beaucoup d’éducation, quelques articles par ci par là. Et pourtant tu es vraiment pédagogue. Tu explique vraiment bien.
J’ai beaucoup apprécié ton article. Ma fille vient tout juste d’avoir deux ans. Elle remplie certains critères et d’autres pas du tout ! Merci des conseils 🙂
Mariel
4 juin 2020Merci beaucoup ! A vrai dire je ne me sens pas du tout « légitime » à rédiger des articles sur l’éducation, mais pourquoi pas proposer régulièrement des astuces et conseils pour des petites choses du quotidien des enfants 🙂
Céline
20 mai 2020Bonjour Mariel!
Merci pour cette article une fois encore très instructif!
Je me permets de rebondir sur un point. Tu écris qu’il faut que les sphincters soient physiologiquement prêts à fonctionner et à faire leur travail de rétention. Il existe une théorie qui dit que les sphincters fonctionnent dès le plus jeune âge mais que les bébés ne s‘en servent pas et que donc ils perdent leur fonction. Les enfants doivent donc réapprendre à s‘en servir. Je dois dire que j’étais sceptique! Et puis ma sage-femme m‘a initiée à l’hygiène naturelle infantile. J‘ai été bluffée même si nous ne l‘avons pratiqué que de façon „light“. Dès ses 1 mois, ma fille allait à la selle et ne faisait plus dans sa couche.
Belle journée à toi! Et merci encore pour tous ces conseils!
Adeline
20 mai 2020Merci pour cet article qui est déjà très plaisant à lire ! Cette étape a été tellement évidente pour notre première que nous nous sentons un peu perdu avec notre deuxième qui a 2 ans et 2 mois et ne s’y intéresse absolument pas…
Valérie Genre Ramos
20 mai 2020Très bon article! Je ne suis plus concernée mais j’aime te lire sur les sujets d’éducation. J’apprécie ton approche toujours bienveillante, jamais dans le jugement. Bonne continuation! Et merci pour ton travail!
Marion
20 mai 2020Bonjour Mariel et merci pour cet article qui nous apporte quelques tips supplémentaires dans cette période très compliquée par ici. Clémence a eu 3 ans en mars, elle sait être propre, mais n’y trouve aucun intérêt et nous ne savons plus comment l’encourager !
On va tester différentes formes de récompense pour la motiver !
MENNINI
20 mai 2020Merci beaucoup Mariel, je te suis depuis un moment, j’avais lu ton article sur le sommeil qui m’avait aidé, et la ma fille vient d’avoir deux ans, je suis en plein dans le sujet de la propreté, à chercher les signes qu’elle est prête ou non. Elle est très intéressée par le pot, par nous aux toilettes, elle veut bien s’assoir sur le pot habillée mais pas toute nue. Ainsi en lisant ton article je me rend compte qu’elle n’est pas prête sur le plan émotionnel je pense. Ce n’est pas grave nous attendrons.
Merci pour cet article qui tombe à pic, et qui me rassure (même si je ne stresse pas, on a le temps) 🙂
Fanny
20 mai 2020Bonjour,
L’article est très bien écrit et je trouve intéressant de pouvoir confronter les points de vue. Pour notre part, notre fille qui a bientôt 3 ans allait avant le coucher de la sieste et de la nuit sur le pot depuis ses 2 ans et demi mais ne demandait pas la journée.
Elle saisissait très bien les enjeux de la continence puisqu’elle disait à qui veut l’entendre qu’elle irait à l’ecole Quand elle ferait pipi et caca aux toilettes.
Avec mon mari, nous avions l’impression qu’elle n’avait pas de sensations après avoir fait pipi, la faute à des couches trop absorbantes ? Du coup nous lui avons proposé tranquillement de mettre des culottes, les Petits Bateaux of course, qui sont beaucoup plus jolis que des couches ☺️ On l’a prévenu qu’il y aurait des accidents mais que c’etait normal et en aucun cas une bêtise. Les deux premiers jours on s´est rendu compte qu’avec la couche elle n’avait pas la sensation de vessie remplie, puisqu’elle faisait des petits pipi (dans le pot ou la culotte) de très nombreuses fois par jour. Les jours suivants, elle apprenait à décrypter les signaux et a avoir un meilleur contrôle de son corps, jusqu’à pouvoir se retenir plusieurs minutes. Pour les selles, depuis sa naissance, elle a toujours été assez constipée malgré toutes les précautions qu’on ait pu prendre et depuis qu’elle les fait sur le réducteur, ça lui a changé la vie de ne plus être douloureuse. Au final, en même pas une semaine plus aucun accident, on voit la fierté qu’elle a de ressentir le besoin d’aller aux toilettes et d’être une grande fille.
Bonne journée.
Elodie
20 mai 2020Merci pour ces conseils 🙂
Mon fils avait commencé l’école mi-janvier et avait plus ou moins acquis la propreté.
Depuis le confinement, c’est un retour en arrière…
On le valorise quand il va au pot et on ne le force pas si il n’en a pas envie.
Le déclic se fera petit à petit 😉
Camille
20 mai 2020Bonjour Mariel
J’attendais tellement cet article parce que tu en avais parler dans un vlog et je voulais savoir la suite
Ici ma fille vas avoir 3 ans et elle n’est toujours pas propre j’espère qu’elle le sera d’ici sa rentrée pour la maternelle
Bonne journée
Elisabeth
20 mai 2020Salut Mariel !
Super article comme toujours, extrêmement clair et complet. C’est vraiment un plaisir de te lire.
Je commençais justement à m’y intéresser pour mon fils de 14 mois (je sais c’est beaucoup trop tôt, mais j’aime être un peu au courant des choses en avance de phase, histoire d’être plus ou moins prête à ce qui va arriver…) je garde donc ton article pas loin et on va attendre le moment venu, voir comment mon petit bonhomme appréhendera ce grand changement dans sa petite vie !
Des gros bisous à toi, Inès et Quentin !!!
Carolitchi
20 mai 2020Coucou Mariel,
Pour mon fils, nous avons fait confiance aux conseils de sa nounou. Elle nous a préconisé de profiter des beaux jours pour faire l’acquisition de la propreté, en lui retirant de suite les couches la journée ( pas pour les siestes ni la nuit bien sûr) et de le laisser courir en caleçon, que cela prendrait 3 à 4 jours mais qu’il serait propre très vite car les enfants n’aiment pas être mouillé. On devait lui proposer régulièrement d’aller sur les toilettes et en cas d’accidents, aucuns jugements, aucunes humiliationS mais des encouragements et des félicitations en cas de pipi sur le pot.
En aucun cas il ne fallait remettre des langes la journée une fois avoir commencé, même pour sortir quelque part.
Résultat, après 3 jours, mon fils était propre à l’âge de 2 ans et demi et une semaine plus tard il était propre la nuit aussi. Cela peut paraître strict mais les accidents on les à compter sur les doigts d’une main.
Mon fils n’a jamais voulu de petit pot, il fait directement sur les toilettes avec un réducteur et un marche pied pour y s’asseoir seul.
Maintenant je pense que si ça a aussi bien fonctionné, c’est qu’il était prêt de son côté.
J’aurais aimé avoir lu cette article à cette époque car il est très complet et instructif. Merci
Hélène
21 mai 2020Coucou Mariel, ton article est super intéressant. Merci beaucoup. Mon fils aura 4 ans fin juin et est propre depuis avril ! Ça a été un vrai parcours du combattant.. Notre problème majeur a été qu’il n’était pas prêt à 3 and et qu’il a du rentrer à l’école.. la maîtresse et la directrice lui ont mis une pression folle et il a fait gros blocage! Je récupérai mon fils tous les soirs avec des vêtements qui sentaient l’urine et plus si affinité.. Heureusement nous l’avons déscolarisé en décembre car nous avons déménagé à l’étranger… Nous avons évité le sujet pendant 3 mois pour passer à autre chose.. ça nous a tous fait du bien. Pendant le Covid 19.. j’ai senti qu’il était prêt et j’ai instauré le système de gommettes.. il était propre en 15 jours ! Moral de l’histoire.. la propreté vient qu’elle vient et surtout pas de pression.. c’est contre productif ! J’aurai adoré lire ton article quelques mois en arrière.. j’en aurai eu bien besoin… au lieu de ça je me prenais tout le temps des réflexions de l’école ou d’autres mamans qui se permettaient de dire qu’il serait temps que mon fils comprenne.. c’était difficile alors merci de partager ton expérience ! Bisous ❤️
Nicole Brugnon
21 mai 2020Pour ma part j ai commencé à présenter le pot des l age de 18 mois sans forcer l enfant. Au début il ne faisait rien dedans puis suite aux félicitations quand en il faisait fortuitement dedans peu à peu cela s est regularise entre couches et pot. Finalement j ai retiré la couche petit à petit et il ne voulait plus de la couche. Résultat pratiquement propre à 2 ans. En meme temps je ne travaillais pas ça a du aider…
Shopping Addict
21 mai 2020Bonjour, bon récap’ des pré-requis, l’âge est tellement différent d’un enfant à l’autre.
Ici, avec des jumeaux, on a présenté les pots dès 18 mois, histoire qu’ils s’habituent à l’objet. Occasionnellement on les a posé dessus.
On les a vraiment incités qu’à 2 ans+. C’était l’été, les garçons étaient en caleçon, chez mes parents (carrelage au sol, facile à nettoyer). Au début, j’ai passé beaucoup de temps à nettoyer !! Mais en quelques semaines, c’était fait. Rentrée de garderie à 2 ans 1/2 sans couche.
Après, il faut gérer la propreté de nuit. Le 1er a enchaîné direct, le 2ème y arrive enfin… à 7 ans (sommeil profond). Enfin libérée du budget couches !
nadia
29 novembre 2020bonjour
je suis la maman de 4 enfants des très grand ado et d’un petit garçon de 22 mois
Nassim va depuis longtemps sur le pot il demande pat ses moi ou mon mari qui le mettons sur le pot toute les heure environs nassim ne demande pas a chaque fois qu’il fait je le felicite je lui donne des smartises ce que j’ai fait avec mes trois premiers qui a 2ans 1/2 etait propre jours et nuit
nassim arrive a ce retenircar des fois la couche de la sieste ou de la nuit et seche le probleme nassim demande pas et peut faire dans la couche culotte et attend d’avoir la couche a la sieste pour faire caca dedans j’ai tout essayer mes si moi je pense pas a mettre nassim au pot ou sur les toilette sens rehausseur car il fait aussi dans les toilettes nassim peut rester toute la matinée avec la couche culotte mouiller j’ai essayer les culotte mes rien il arrive que des fois il dise caca mes quand je le met sur le pot rien et la couche culotte est muollier il arrive aussi que la couche culotte soit seche toute la journée il es arrivée aussi que je le mette a 9h00 le matin et le remette a 11h00 et que la couche culotte soit seche ce que je ne comprend pas c’est que nassim demande pas tout mon entourage me dit qu’il pourrait etre propre